Selon un journal de l’entité sioniste, 40.000 combattants de Syrie, d’Irak et du Yémen attendent des ordres du Hezbollah pour commencer les combats contre l’armée sioniste, probablement au cas où cette dernière entamerait son opération terrestre au Liban, comme l’ont laissé entre plusieurs officiels sionistes. Il faut rappeler que la «résistance» irakienne dispose déjà au Liban «d’experts et de conseillers» militaires, qui soutiennent le Hezbollah. Durant les seuls trois mois de l’hiver passé, la Résistance islamique en Irak, un groupe de mouvements irakiens anti-impérialistes et antisioniste, a mené plus de 175 tirs de roquettes et frappes de drones, en Irak et en Syrie, contre les soldats américains intégrés à une coalition internationale dite antijihadistes. Ils ont commencé à frapper l’entité sioniste il y a quelques semaines de cela. Ayant des milliers de combattants sous leurs ordres, la Coordination de la Résistance irakienne a assuré que «si les sionistes mettent leurs menaces à exécution, le rythme et l’ampleur des opérations les visant ira en s’intensifiant. Les intérêts de l’ennemi américain» en Irak et dans la région «seront des cibles légitimes». Cette coordination regroupe notamment les Brigades du Hezbollah, Al-Nujaba et les Brigades Sayyed al-Chouhada, toutes visées par des sanctions américaines et fer de lance des attaques contre la coalition dite anti-jihadistes. Depuis des semaines, la Résistance met l’accent sur des «opérations conjointes» menées avec les Houthis du Yémen et enchaîne les communiqués de revendication pour des tirs de drones contre des cibles dans les territoires occupés par l’entité sioniste.
